Politique

Bouleversement au sein du CPT : Edgard Leblanc Fils sème la pagaille

Le climat d’incertitude persiste autour de la présidence tournante du Conseil de la Présidence Transitoire (CPT). Edgard Leblanc Fils, actuel président, refuse catégoriquement de signer la résolution visant à entériner le changement de présidence. Cette décision a des conséquences directes sur le fonctionnement de cette institution, car il a également emporté avec lui le sceau officiel du CPT, un symbole crucial pour la validation des actes administratifs. Ce geste, perçu comme un blocage, laisse en suspens la publication officielle du document dans Le Moniteur, l’organe gouvernemental responsable de l’officialisation des décisions.

Jusqu’à présent, aucune solution ne semble se profiler pour dénouer cette impasse. Le refus de Leblanc Fils et son retrait du processus bloquent la transition prévue et créent une tension palpable au sein de la structure. La publication du document dans Le Moniteur, qui doit rendre effective cette nouvelle présidence, n’a toujours pas eu lieu, augmentant ainsi les spéculations sur la gestion future du CPT. Les membres de l’institution et l’opinion publique attendent avec impatience une réaction des autorités compétentes pour mettre fin à cette crise institutionnelle.

Si la situation reste inchangée d’ici lundi 7 octobre, personne ne sait précisément ce qui pourrait advenir. Cette date marque le jour où un autre président devrait normalement prendre les rênes du CPT. L’absence de clarté et l’inaction actuelle laissent planer un doute sur le bon déroulement de cette transition. Les observateurs craignent que cette impasse institutionnelle ne compromette le bon fonctionnement de l’organisation dans les semaines à venir.

Ernest EUGENE

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