Le SDP ou le symbole du bas-ventre
Le Secteur Démocratique et Populaire, le fer de lance des manifestation antigouvernementale contre le régime PHTK, a choisi son camp depuis l’assassinat du président Jovenel Moïse. Les membres de ce regroupement abandonnent les revendications populaires pour aller s’enrichir goulûment dans les caisses publiques.
Depuis après l’assassinat du Président, Moïse en sa résidence privée à Pèlerin 5 en juillet 2021, les dates historiques d’Haïti n’ont pas fait objet de manifestations populaires puisque les revendications des leaders sont satisfaites tandis que, la population croupit dans la pauvreté atroce.
Au pareil cas, à l’approche du 35ème anniversaire de l’adoption de la Constitution haïtienne le 29 mars prochain, l’ancien Secteur Démocratique et Populaire dirigé par Me André Michel, l’ancien Sénateur Nenel Cassy et l’ancienne ministre Marjorie Michel aurait déjà annoncé des grandes mobilisation populaire pour déboulonner le pouvoir en place. Cependant, depuis la signature de l’accord du 11 septembre 2021 baptisé « Accord pour une gouvernance apaisée de la période intérimaire », le problème du pays ne n’interesse pas le Secteur Démocratique et Populaire. On dirait que l’ancienne structure de l’opposition n’est pas au courant du pourrissement du phénomène de l’insécurité, du kidnapping et la cherté de la vie dans le pays.
Avec son ministre de la planification, les acteurs clés du SDP préfèrent planifier la misère et la pauvreté du peuple haïtien au lieu de projeter l’avenir de ce pays meurtri par les maux de toutes sortes. Les barricades sont transformés en bonheur pour le Secteur Démocratique et Populaire qui a vendu la mèche, puisque l’opposition est un moyen pour arriver à s’enrichir dans un petit pays comme Haïti.
Très souvent en Haïti, la faim du pouvoir dément le discours des opposants politiques en Haïti.
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