Politique

Voulant éradiquer la corruption dans le pays, Jovenel Moïse réclame la transparence de son gouvernement

Lors du symposium sur la bonne gouvernance, sous le thème « les institutions de contrôle au cœur de la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption. » Le président Jovenel Moïse après plus de 3 ans au pouvoir re confirme que le pays a 5 problèmes majeurs « la corruption, la corruption, la corruption, la corruption, et la corruption. », faisant référence aux nombreuses pertes de l’état à des projets sur facturés, le président maintient son désir de laisser le pays avec l’électricité 24/24, comme il l’avait annoncé en campagne.

« Près de 20.000,000 de dollars par mois, investis l’état haïtien pour l’énergie, alors que le black-out régnait. Aujourd’hui avec seulement 6.000.000 de dollars, on est arrivé à 18 heures de temps d’électricité dans certaines zones du pays. » Confirme le président qui avant était considéré comme « Machann Black-out » par ses opposants qui aujourd’hui ne peut rien dire, vue l’avancement du programme d’électricité 24/24.

Pour combattre la corruption dans le pays, le président encourage les membres de son gouvernement à agir avec transparence et d’avoir une bonne collaboration avec les institutions de contrôle, afin d’impliquer dans la lutte contre la corruption. « Jodi a je Pèp la rete louvri poul mande otorite nan Leta yo transparans e eksplikasyon. Kidonk ou menm PM, Minis, tout lòt fonksyonè kap jere lajan Leta, map mande nou kolabore ak enstitisyon kap kontwole nou yo. Se pi bon fason pou n enplike nou nan lit kont koripsyon an. » Précise t-il.

« La corruption entrave l’adoption des lois justes et efficaces, ainsi que l’exécution des lois et la mise en œuvre de l’action des tribunaux. La lutte contre la corruption marche de pair avec le renforcement de l’Etat de droit et de la bonne gouvernance. »

« L’organisation de ce symposium témoigne de la volonté des institutions concernées de matérialiser les vœux du Gouvernement d’endiguer à tout prix le phénomène de la corruption qui constitue un obstacle majeur à la croissance et au développement socio-économique du pays. » Ajoute le président.

Wallace Elie
Journaliste /Image7

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