Editorial

Qui sera le nouveau président de la République après le 7 Février 2021 ?

Quelques jours avant la fin du mandat constitutionnel de Jovenel Moïse selon l’opposition démocratique, la bataille pour remplacer Jovenel Moïse au sein de l’opposition persiste et n’est pas sûr. L’opposition ne compte toutefois pas avoir Jovenel Moïse au pouvoir après 7 Février 2021, dit prêt par tous les moyens de le Forcer à respecter la constitution amendée de 1987.

 

Cependant on se demande qui remplacera Jovenel Moïse après le 7 Février 2021 au pouvoir ? C’est une question que l’opposition ne compte pas répondre oú ne veut pas dévoiler pour l’instant à plus de trois semaines de la date. Ce problème de désignation du remplaçant de Jovenel Moïse devient un détail que les politiciens de l’opposition peinent à résoudre.

 

Certains d’entre eux parlent d’un ou d’une juge le plus ancien, ne, à la Cour de Cassation, tandis que d’autres optent pour un homme politique honnête crédible et stratagème dans la société haïtienne. Aujourd’hui un autre homme, un politicien de renom l’animal politique, Joseph Lambert fait son apparition et devenu le président du Sénat de la République.

 

Joseph Lambert devient un débat qui fait peur plus d’un et rassure d’autres, si la transition devrait se pencher vers le sénat de la république quoique dysfonctionnel et inapte à prendre des décisions législatives pour manque d’effectif.

 

Après les soupçons sur le nom de la Juge de la Cour de Cassation Mme Wendell Cop, l’homme politique de l’OPL Edgard Leblanc Fils, le nom de Joseph Lambert inquiète comme potentiel remplaçant de Jovenel Moïse après 7 Février 2021. La direction démocratique de l’opposition reste dans un jeu de coquin, ne veut pas dévoiler de noms et du démarche constitutionnelle va prendre la transition de rupture annoncée.

 

En effet, le 7 Février 2021, annonce une surprise, si l’opposition n’est pas arrivée à sa fin de forcer le président Jovenel Moïse à respecter la constitution amendée de 1987, et que si Jovenel Moise persiste de rester illégalement au pouvoir, le pays sombrera sans doute dans une guerre civile. Et dans le cas contraire la guerre sera entre les membres de l’opposition pour celui qui va remplacer Jovenel Moïse. Dans les cas le mal est infini pour le peuple haïtien.

 

Quoique le peuple en a assez de la mauvaise gouvernance du pouvoir en place, mais ceux qui disent combattre en leur faveur pour rétablir la sécurité, combattre la vie chère et prend le chemin du développement économique social et politique durable, doivent cultiver la transparence dans la bataille pour changer ce système et délivrer le pays.

 

Wallace Elie

Communicateur Social /Journaliste.

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