Editorial

Est-ce pour l’affaire de Jovenel que Ariel Henry a peur de laisser le pouvoir?

Le Président Jovenel Moïse a été tué dans sa résidence privée par un commando composé des soldats colombiens retraités et des haïtiens. L’actuel chef du gouvernement est impliqué dans ce crime de lèse-patrie.

Pour échapper à la sanction de la justice haïtienne, le Premier ministre Ariel Henry reste attaché à son pouvoir bien que se dirige vers une catastrophe humanitaire. Il a le support indéfectible de la communauté internationale malgré rien n’est fonctionner dans le pays. En ce sens, l’historien haïtien, Michel Sukar a indiqué que le chef du gouvernement est un esclave de la communauté internationale. Plus loin, il a fait savoir que le locataire de la Primature a agi selon les désirs de madame Helen Lalime, qui est la représentante du Secrétaire Général de l’Organisation des Nations Unies en Haïti et également chef du Bureau Intégré des Nations Unies en Haïti ( BINUH).

Des grands journaux américains dont Washington Post a révélé dans un éditorial publié en septembre dernier que le Premier ministre Ariel Henry a participé dans l’assassinat crapuleux du 58ème président d’Haïti.

Au cabinet d’instruction, l’enquête se poursuit tandis que les assassins du feu Président Jovenel Moïse sont éparpillés dans la république.

P.F/Image 7

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