La vie est morte en Haïti
Depuis environ un mois, le pays est en mode lock, toutes les activités sont complètement paralysées dans le pays. Malgré tout celà, Le Premier ministre Ariel Henry veut un « adelante ».
La situation du pays est catastrophique. La crise humanitaire est proche puisque la crise du carburant a rendu complètement impossible la vie en Haïti. Ce lundi 3 octobre, le pays se réveille sous haute tension.
Des mobilisations anti-gouvernementales se sont redémarrées dans le pays pour exiger le retrait de l’ajustement des prix du carburant et le départ sans condition du Premier ministre Ariel Henry. Le locataire de la Primature tient tête jusqu’à date aux diverses revendications populaires c’est-à-dire, il a méprisé les différentes initiatives orchestrées par la population visant à contraindre son cabinet à faire marche arrière dans sa décision.
La crise du carburant a provoqué la fermeture de plusieurs institutions du pays notamment des hôpitaux et des usines d’eau traitée.
En conséquence, le pays souffre de tout cependant le cabinet ministériel reste attaché au Premier ministre Ariel Henry. À quel intérêt ? Pour piller les maigres ressources du fonds de l’Etat.