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Le pourrissement de la situation du pays est-il pour justifier la nécessité d'une force multinationale ? 

Depuis plusieurs mois la situation sécuritaire du pays est hors du contrôle des autorités gouvernementales. Le Premier ministre Ariel Henry en sa qualité du Président du Conseil Supérieur de la Police Nationale( CSPN) n'a jamais pipé de mots sur la situation.

Les gangs armés contrôlent tout le pays et la Police Nationale d'Haïti s'est montrée très impuissante devant les assauts répétitifs des hommes lourdement armés. Cette stratégie complice du pouvoir n'est-il pas un moyen pour favoriser l'arrivée des troupes étrangères dans le pays.

La situation est tellement catastrophique, les États-Unis ont ordonné à ses ressortissants de laisser immédiatement le pays pour ne pas victime des actes de banditisme.

Et pour asseoir cette décision, certains rendez-vous à l'ambassade américaine prévus pour ce mois de juillet 2023 ont été reportés jusqu'au juin 2025 en raison de l'évacuation des personnels de l'ambassade.

Le pays est livré aux gangs, devant la complicité des dirigeants.

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